Blanca c’est un éclat, un murmure, une apparition, un aveuglement, une aube. Elle est une vieille dame, et la petite fille qu’elle a été. Blanca c’est une demeure, les murs de cette demeure, et son toit. Elle est son silence, ses bras, son journal, sa nuit et ses racines. Blanca c’est une conversation et une rencontre, ou bien à l’envers, une rencontre et une conversation, entre Anne-Sophie Costenoble et Nía Diedla. Blanca c’est le lieu et le titre où elles abritent leurs histoires, en une autre histoire, en commun. Blanca c’est une invitation à découvrir ce qu’on ne dit pas, mais qu’on regarde.